Depuis la création de l’Association le 28 Avril 2017, la JARRE Écocitoyenne suscite de l’intérêt ! Cette rubrique est un porte Folio des articles parus dans la presse mais également la vitrine de sa visibilité (Web, Radio, Page et Groupe Facebook, Gmail, Pintesrest et autres…)
Nous avons été selectionné comme grand gagnant d’un concours concernant les associations sur 8 communes environnantes de l’agence de la caisse locale du Crédit Agricole de Villeneuve les Avignon !
Le concours “Ensemble pour un développement Responsable” propose 2 associations par an pour recevoir un don. L’association le Rémède de l’Autruche (également Rochefortaise) a été désignée seconde !
Cette année, le crédit Agricole a recherché des associations à viser “développement durable”, ce qui cible nos aspirations !
Énergies renouvelables,
Consciences environnementale,
Éco-citoyenneté
La réception d’un Chèque factice de 1000€ s’est fait lors de l’assemblée Générale de l’agence locale du Crédit Agricole de Villeneuve, le 06/02/2020 à 18h, à la salle du Forum aux Angles, 30131. DavidZ s’est vu recevoir un chèque de 200€ de la caisse locale… Un autre de 800€ viendra plus tard de la caisse départementale.
David a donc eu l’occasion de présenter notre association devant les adhérents de l’assemblée générale du Crédit Agricole. Il a laissé entrevoir ce à quoi cette dotation servira : _ semaine écocitoyenne (stop pub, végétalisation de l’espace communale), jardin urbain, mise en place d’ateliers culinaires (lactofermentation), achats de matériels pour la mutualisation de petits outils, mise en place de la section apiculture de l’association).
Suite à cette soirée, la responsable d’agence du Crédit Agricole de Villeneuve lez Avignon, Mme Véronique Léonetti, nous a inscrite à ce même concours mais à l’échelle départementale !!!
Lien vers l’article du MIDI LIBRE concernant notre réunion salle de la Rouvette (Route d’Orange / Avenue Coupo-Santo) pour faire part de nos échanges concernant le projet aujourd’hui avorté du jardin communautaire des Amariniers.
Depuis cet événement et le retrait du projet indépendant de la volonté du bureau, nous comptons 2 fois moins d’adhérents… Que ceux qui veulent “gratter la terre” ne désespèrent pas… d’autres propositions sont en cours… Demander plus de détail à DavidZ en lui passant un petit coup de fil.
Article publié le 24/02/2019 à 02:08 / Modifié le 24/02/2019 à 02:08, rédigé par Florence Lemaire.
David Zicola, président de l’association La Jarre écocitoyenne ne manque ni de projets ni d’énergie ! L’année 2019 a vu la naissance d’un projet communautaire Le Jardin des Amariniers, à quelques pas du centre de Rochefort-du-Gard.
Tout est parti d’un Rochefortais, Jean-Marie Abrieu, qui, sensible aux projets des jardins urbains, a proposé de mettre à disposition de l’association un grand terrain avec son bac de rétention d’eau ! La Jarre a saisi cette opportunité et a commencé à nettoyer le terrain. Des dimanches où une quinzaine de membres de l’association a joué de la tronçonneuse, de la débroussailleuse…
Il a fallu enlever une vieille épave de voiture, élaguer, restaurer le vieux portail…
David Zicola a ensuite emmené ses troupes chez Louis Rouvière et Christian Conil, où elles ont pu couper des cannes provençales qui serviront à restaurer les brise-vent naturels et qui protégeront les futurs potagers. Il faudra ensuite préparer le terrain :
David sait qu’il pourra compter sur le crottin du ranch de Domazan et sur la sciure et les plaquettes forestières de l’entreprise Donnadieu. Il a également fait une demande de compost au Smictom.
Ce futur jardin communautaire intéresse déjà plusieurs personnes, de jeunes retraités ou couples avec enfants qui souhaitent partager avec eux cette activité des ” mains dans la terre “. La Jarre écocitoyenne s’est nourrie des expériences d’associations locales, comme Solisol à Lirac, où les membres de l’association rochefortaise ont fait quelques journées participatives. Ce jardin, c’est aussi un lieu de vie, d’échanges, de compostage… ” On a tous les éléments pour que ça marche, il nous faut maintenant optimiser ce que la nature nous donne ! “, espère David Zicola.
Fin de l’article. Merci Florence !
La semaine prochaine nous allons débattre des modalités de la mise en place avec Jean Marie Abrieu concernant la parcelle qu’il nous octroie ainsi que la mise en place du système d’arrosage.
IMPORTANT : Le 28/03/2019, une annonce via le groupe Facebook de l’association a été faite pour à la fois proposer en lecture cet article mais aussi avertir sur l’avenir de ce projet : Afin de pouvoir dès aujourd’hui commencer à semer pour cette nouvelle saison au potager qui s’annonce, l’association va rencontrer Bernard Coulomb et étudier sa proposition de mise en location de parcelles sur un de ses terrains où tout est déjà en place : La terre est prête et l’arrosage en place !
Le lieu : Proche de la Route d’Orange et des anciens jardins de la diversité (plan Map à suivre) Si vous êtes intéressés pour commencer votre potager dès aujourd’hui, inscrivez vous (tél David au 06.52.33.89.70)
Super fier d’apparaître dans un hors série d’une revue Nationale “La MAISON Écologique“.
Hors-série n°10 “Automne 2018”, “CAP sur l’autonomie”, page 40
Un scannage de l’article et l’utilisation en ligne et gratuite d’une moulinette OCR (Reconnaissance optique de caractère” et HOP : un copier-coller du texte produit par Gwendal Le Ménahèze (le journaliste qui nous a contacté). Voir l’interview de DavidZ et l’article ci-dessous :
TEXTE DE L’ARTICLE : Président de l’association La Jarre Écocitoyenne, à Rochefort-du-Gard, David Zicola anime des ateliers de lactofermentation, un mode de conservation ” presque zéro carbone puisqu’on ne congèle pas et on ne chauffe pas “, apprécie-t-il. L’atout est aussi économique, car “si vous avez déjà des bocaux et opercules en caoutchouc, il ne vous faut que de l’eau de source et du sel de mer “. Sans compter la rapidité de préparation. En plus d’empêcher la dégradation des aliments,” la lactofermentation les aggrade en les rendant plus digestes, développe et équilibre notre flore intestinale, rend les minéraux bio-disponibles, conserve les vitamines qui auraient été thermolysées par stérilisation et peut même augmenter certaines valeurs vitaminiques “·
La lactofermentation (ici,d’oignons, radis, fèves, cornichons, tomates cerise et chou KALE (une choucroute VERTE)) est ” simple et multi-millénaire. Les bactéries naturellement présentes sur les, aliments et dans l’environnement se multiplient, l’aliment que nous voulons conserver est transformé par les micro-organismes, les bactéries. Ce processus peut demander quelques semaines. Le milieu devient trop acide pour permettre aux bactéries de survivre ; le processus de l’actofermentation s’arrête alors naturellement”. Contrairement à la conservation en cave, pas la peine de contrôler l’état des aliments tous les 2 ou 3 jours pour éviter le pourrissement.
Retour marché Rochefort Océan : 2 articles de Presse !
Carton plein !
Nous avons vendu les huiles gardées à cet effet lors du marché inter-Rochefortais à Rochefort Océan… à quelques 711km de Rochefort du Gard !
Pour une fois que nos produits voyagent ! Ils ont rencontrés un fier succès lors de la rencontre entre Rochefortais “d’Ici et d’ailleurs”. Les huiles se sont vendues la matinée même et un bon nombre de pots de confitures ont venté les mérites de notre association et de notre village où rien ne se perd, rien ne se créer et tout se transforme !
Voici donc 2 articles de presse édités peu après notre retour :
Le premier du “Midi Libre” (Merci à Mathilde Audin), du 07/09/2018
le second de “La Provence” (Merci à Christian Conil) avec qui le président DavidZ a pu s’entretenir lors de ses 3 jours passés à Rochefort sur mer, puisque ce dernier était présent et faisait parti de la délégation (Article du 10/09/2018).
Copier/coller de l’article de Mathilde (Midi Libre) du 07/09/2018 :
Deux associations ont représenté la commune en Charente.
Qu’il fait bon vivre à Rochefort, tous les Rochefort ! Tous les ans, l’association Les Rochefort d’ici et d’ailleurs de Rochefort Océan organise un marché de producteurs locaux des différentes villes.
Onze communes portent le nom en France, auxquelles il faut ajouter le Rochefort belge et le Rochefort suisse. Le marché a lieu une année sur deux à Rochefort Océan en Charente-Maritime, et sur un autre Rochefort, l’année suivante.
Cette année encore, le 1er septembre, une délégation de la belle commune a participé à cet évènement festif sur la place Colbert de Rochefort Ocean.
Des défis sous forme de jeux
À plus de 600 km de nos vignobles, en pleine période de vendange, Château Terre Forte, partenaire historique de l’évènement, qui pratique notamment la culture biologique et bio-dynamique, a, de nouveau, présenté ses vins. Mais cette année, il était accompagné de David Zicola de l’association La Jarre écocitoyenne. “Nos confitures et huiles d’olive ont rencontré un franc succès, les visiteurs ont manifesté un réel intérêt pour notre démarche écologique, se félicite David. L’ambiance était conviviale et bon enfant. Devant l’affluence, Mme Riberi et Manya m’ont même prêté main forte pour tenir le stand”, s’amuse-t-il.
Les différents Rochefort se sont aussi affrontés lors des jeux organisés tout au long de la journée. Si l’équipe gardoise a terminé bonne dernière au tir à la corde, elle était sur le podium pour le lancer de charentaises !
Copier/coller de l’article de Christian (La Provence) du 10/09/2018 :
Quand un Rochefort rencontre un autre Rochefort, qu’est ce qu’ils se racontent ?
C’est la question que s’est posée Sandrine Didat, présidente de l’association organisatrice de cette réunion pas comme les autres qui se déroulait à Rochefort Océan (Charente Maritime).
Une idée originale née il y a 10 ans de l’envie de connaître ces Rochefort de France, Suisse et Belgique, avec leur histoire, leur patrimoine, mais aussi leurs spécialités gastronomiques et locales. Absinthe et saucisse fumée
pour nos amis suisse ; bière trappiste côté Belgique ; pain d’épices, pinot, vin des Charentes, fromages, produits de
la mer et bien d’autres produits de terroir abondaient les étalages des huit Rochefort présents. Si pour Pierre Jauffret et Nadine Auray, “Château Terre forte”, ce rendez-vous récurrent est l‘occasion de présenter les millésimes agréés bio et bientôt biodynamie aux fidèles clients, c’était une première pour les huit adjoints gardois et pour David Zicola, président de la “Jarre écocitoyenne”, une association qui compte une cinquantaine de membres réunis
pour encourager et valoriser l’agriculture bio. “Lalarre écocitoyenne est un acronyme qui synthétise notre volonté de valoriser les circuits courts, du Jardin a l’Assiette, en luttant contre toutes formes de gaspillage par la Récupération et le Réemploi. Un mouvement écocitoyen qui se traduit par la réalisation de confitures à partir des fruits cueillis chez les particuliers qui n’en font rien ou qui ont des surplus, de l’huile d’olive, réalisée avec la production des oliviers communaux et des habitants qui ne ramassent pas les leurs. Nous allons commencer une activité de jardinage, grâce au prêt d’un terrain de 5 000 m2 sur lequel nous pourrons expérimenter diverses formes de cultures maraîchères dont la permaculture mais aussi des techniques respectueuses de l’environnement pour nourrir la terre”, explique David Zicola.
Quant aux élus, séduits par le dynamisme de la ville de Rochefort Océan, ces rencontres conviviales sans protocole sont l’occasion d’échanger librement entre eux, mais aussi de valoriser l’attrait économique et touristique de leur commune.
Contacts :
David Zicola, président de l’association La “J.A.R.R.E écocitoyenne”
Tél (asso) : 09 52 17 44 69 ou (portable) 06 52 33 89 70.
Château Terre forte Tél : 90 26 66 38 ou 06 13 55 35 03 ou 06 08 56 47 16.
Article de Christian Conil, La PROVENCE, 10/09/2018. ® www.laprovence.com
La revue la maison écologique s’intéresse à nos modes de conservation alimentaire “presque zéro carbone” et donc à l’utilisation de la lactofermentation pour aggrader et conserver les aliments produits dans nos jardins potagers !
Nous avons reçu, le 30/07/2018, un mèl de Gwendal, le journaliste, parmi les 5 permanents travaillant pour la revue “La Maison écologique” :
Je suis journaliste pour le magazine La Maison écologique et nous avons vu sur le site de La Jarre que vous animiez des ateliers pour faire ses conserves lactofermentées ? Réalisiez-Vous aussi d’autres types de conserves sans recourir à l’électricité?
Accepteriez-vous de témoigner pour un article sur les alternatives au frigo pour conserver les aliments?
DavidZ se propose d’aider à la rédaction de cet article en projet, en espérant recevoir en contrepartie un exemplaire de la revue, une fois l’article édité !!!
De là, nous avons reçu, un mèl déclinant les questions suivantes :
Quels sont pour vous les avantages de la lactofermentation par rapport à d’autres modes de conservation?
Pouvez-vous résumer brièvement en quoi consiste ce processus de lactofermentation?
Utilisez-vous (au sein de la Jarre ou à titre personnel) d’autres méthodes de conservation « presque zéro carbone »?
Auriez-vous quelques photos de la confection de bocaux lactofermentés?
Quelles coordonnées souhaitez-vous que nous indiquions pour les lecteurs qui souhaiteraient vous contacter (adresse postale, mail, téléphone, site Web)?
NB : David ZICOLA est le président de l’association “La JARRE Écocitoyenne”, rédacteur d’un blog sur le thème du jardin à l’assiette “DZprod Jardin” et également l’intervenant-formateur concernant les ateliers sur le thème de l’aggradation alimentaire via la lactofermentation. Liens : Le blog de DavidZ “DZprod Jardin” et ses essais déjà relayés sur son blog : Toute une rubrique est dédiée à la lactofermentation ! Un article présente cette rubrique et donne en lien d’autres articles sur le traitement concret des surplus issus des jardins bio urbains, partagés ou de potagers d’adhérents de l’association.
Ainsi, une lecture rapide diagonale, de la rubrique sur le site DZprod Jardin apporte toutes les réponses à ces 5 questions
Réponse 1. : Quels sont pour vous les avantages de la lactofermentation par rapport à d’autres modes de conservation?
Économique : Si vous avez déjà des bocaux et opercule en caoutchouc, il ne vous faut que de l’eau de source (pas d’eau du robinet) et du sel de mer (pas du sel de table fluoré par contre) !
Très rapide d’exécution (par rapport à la stérilisation),
Zéro énergie dépensée pour la conservation : Conservation “zéro carbone” puisque l’on ne congèle pas, ni on ne chauffe (pas de stérilisation),
Rend meilleurs les aliments ! Les aliments issus du jardin se dégradent rapidement… la lactofermentation empêche d’une part la dégradation mais aggrade les aliments (En proposant une nourriture bénéfique au développement de notre biote intestinal, la lactofermentation améliore la digestibilité, rend les minéraux bio-disponibles, conserve les vitamines (qui auraient été thermolysées par stérilisation). La lactofermentation contribue au bon équilibre de notre intestins en détruisant certaines bactéries pathogènes (mauvaises bactéries) tout en offrant une nourriture la meilleure à nos “bonnes bactéries”.
lutte contre le gaspillage alimentaire : de retour du jardin, on garde les fruits et légumes pour la consommation en frais et on peut ensuite conserver le surplus par la lactofermentation simple, rapide, et efficace !,
permet la diversification alimentaire ! J’aime élaborer des salades en y ajoutant des légumes lactofermentées : cela donne du goût et des couleurs à mes salades (Effet appétent : on lutte contre l’uniformisation du goût et on nourrit l’oeil !)
2. Pouvez-vous résumer brièvement en quoi consiste ce processus de lactofermentation :
Afin de donner du sens à cette définition en la reliant à notre monde contemporain, j’aimerais ajouté que ce mode de conservation, simple et multi-millénaire, nous est plus familier lorsque l’on évoque la choucroute (lactofermention du chou), le saucisson (lactofermentation de viande), les rollmops ou la morue salée (lactofermentation de poissons), le fromage (lactofermentation de lait), le vinaigre, les cornichons, les olives de bouche, le ketchup, le pain au levain. Évoquer la lactofermentation devient même “tendance et actuel” (mais pourtant “vieux comme le monde”) lorsque l’on évoque le Kéfir, le kombucha, le miso et son utilisation multiple dans de savoureuses recettes pour la cuisine Vegan !
La lactofermentation est la conservation alimentaire par le sel produisant la saveur umami (une des 5 saveurs de base comme le sucré, salé, acide, amer). L’industrie alimentaire uniformise les goûts via les arômes afin d’offrir une copie gustative de la lactofermentation mais elle dégrade les organismes : c’est la fameuse “mal-bouffe” dont on se plaint aujourd’hui.
Ce sont les bactéries naturellement présentent sur les aliments et dans l’environnement qui vont se multiplier au contact de la nourriture (l’aliment que nous voulons conservé est transformé par les micro-organismes, les bactéries et les levures). Ce processus demande un peu de temps, voir quelques semaines : c’est une des raisons pour laquelle l’industrie alimentaire a abandonné cette conservation. L’autre raison étant que le dégazage issu de la lactofermentation est difficilement contrôlable dans des systèmes fermés tels que les bocaux en verre et leurs joints en caoutchouc qui laissent passer le dioxyde de carbone résultant d’une fermentation anaérobique en gardant le contenu sous une pression “contrôlée”. De plus, en saumure, la lactofermentation produit un dépôt blanchâtre visible au fond des bocaux : ce sont les résidus cytoplasmiques (cadavres) des bactéries pathogènes et des bactéries s’étant multipliées lors de la lactofermentation. Le stade ultime (fin du processus de lactofermentation) se caractérise par un milieu devenu trop acide pour permettre aux bactéries devenues trop nombreuses pour survivre. La lactofermentation s’arrête naturellement ( à Ph 4 environ).
Notre intestin contient également quelques 2 kilos de bactéries. Elles nous aident à la digestion et sont en équilibre malgré une variété de bactéries très différentes. Manger des aliments lactofermentés permet de ré-ensemencer notre flore intestinale de “bonnes bactéries”…
Une remarque concernant l’évolution embryonnaire : Notre corps n’est qu’un empilement de trois tuyaux imbriqués : le premier est une circonvolution qui part de la bouche jusqu’à l’anus, passant par notre intestin…. Après fécondation, la biogenèse produits nos organes à partir de ce premier tuyau (cœur, poumons, etc…), la peau formant le troisième de ces 3 tuyaux. On comprend alors l’importance d’apporter une nourriture la plus adaptée à notre intestin qui est la source de tout ! Tout part de l’intestin, il serait même notre premier cerveau.. et il n’est pas impossible que notre santé, nos humeurs etc… dépendent de l’activité bactérienne intestinale…
3. Utilisez-vous (au sein de la Jarre ou à titre personnel) d’autres méthodes de conservation « presque zéro carbone »?
Oui et non. Côté production au jardin biologique j’aime produire des légumes qui se conservent longtemps. Je choisis certaines variétés de pommes de terre pour leur qualité gustative et d’autres pour leur longévité de conservation (de 2 à 6 mois, il y a de la marge !). J’aime produire également des légumineuses (légumes secs), qui ont le double avantage d’être riches en protéine et de se conserver longtemps à l’état sec (plusieurs années !). Nous travaillons également sur les avantages de la déshydratation pour la conservation : nous avons un séchoir électrique mais nous n’utilisons que le séchoir solaire et un séchoir étagé sans ventilation, ni chauffage d’aucune sorte afin de déshydrater une multitude d’aromatique (origan, sauge, menthes, camomille, thym, tilleul, verveine, mélisse… Nous avons testé le rafraichissement des aliments via des contenants en terre cuite que l’on garde mouillés (lors de l’évaporation de l’énergie est soustraite au système d’où le fait que les aliments son gardés au frais).
Nous sommes content d’avoir une cave de conservation “frâiche toute l’année” au domicile d’un de nos adhérent, au jardin partagé du Loucascarelet.
Pour finir, nous avons le projet de tester la conservation sous terre. L’idée étant de creuser une cavité assez importante afin d’y placer un tambour de machine à laver à un mètre de profondeur. Il est rapporté que les légumes racines peuvent y être conservés assez longtemps (plus qu’en cave).
Je finis par conclure que la lactofermentation est la meilleure des solutions car elle aggrade les aliments et peut même augmenter certaines valeurs vitaminiques ! De plus, par rapport à la conservation en cave par exemple, pas la peine de contrôler l’état des aliments chaque 2, 3 jours afin d’éviter le pourrissement. Ici, aucun gaspillage et surtout 100% de réussite !
4. Auriez-vous quelques photos de la confection de bocaux lactofermentés ?
En tapant “dzprod jardin la jarre lactofermentation” dans un moteur de recherche, on tombe sur pas mal de visuels concernant nos essais. Si vous voulez des images grand format, en vue d’une intégration, libre de droit, dans votre article à paraître dans votre revue “la maison écologique” : écrire à association@lajarre.fr
Nota bene : nous sommes fier de notre lactofermentation de chou Kale qui donne “une choucroute verte” et notre trio de choucroute aux couleurs du drapeau italien !
5. Quelles coordonnées souhaitez-vous que nous indiquions pour les lecteurs qui souhaiteraient vous contacter (adresse postale, mail, téléphone, site Web)?
Adresse postale : Association la J.A.R.R.E Écocitoyenne, 2 allée du Pébrier, 30650 Rochefort du Gard ;
Mèl : association@lajarre.fr ;
Tél : 09.52.17.44.69 (domiciliation de l’asso) ou directement au 06.52.33.89.70 (smartphone du président) ;
Éditée par la ville de Rochefort du Gard et tirée à 3500 exemplaires, la revue municipale parle de nous, de nouveau, dans l’édition n°13 de juillet 2018 : Cet article vous présente les 4 encarts nous concernant !
Il est dommage de ne pas trouver le lien vers le PDF afférent à l’édition papier de cette revue sur le site web de la ville qui n’actualise pas sa page concernant les publications municipales depuis mars 2018.
Merci à Jean-Claude HUDE, Pierre CHEMIN pour le crédit photo !
Page 4 : Annonce de la construction d’un futur ÉCOQUARTIER au Galoubet. Parpiciper à ce projet serait SUPER : Notre aide possible : ruche, composteur, gestion de l’eau, réduction des déchets, RRR… notre asso colle parfaitement à ce projet d’Écoquartier et sa charte nationale labellisée !
Page 8 : Concerne l’aide apportée par l’association La JARRE Écocitoyenne pour la mise en place de 2 jardins urbains auprès des services techniques et des jeunes élus qui ont été porteurs de ces projets.
Page 9 : On reconnait DavidZ dans son uniforme décontracté, sortant du travail pour aller trinquer à la fête des voisin et à la bonne initiative de Nil Ménard (présidente de l’asso “J’embellis ma ville” et adhérente à la JARRE (c’est elle qui nous fait nos galets signalétiques pour les légumes des jardins urbains !)
Page 9 encore : (Pas d’image repris dans cet article, voir la revue) pour l’annonce de 220Kg (chiffre certainement repris de l’année précédente… voir l’article sur le sujet) de déchets ramassés lors de la semaine écocitoyenne. Résumer cette semaine écocitoyenne à l’unique ramassage de déchets est trop réducteur : L’association la JARRE s’est positionnée pour proposer plus d’activité lors de l’édition 2019 ! Vu, avec M Bachevalier. Un brainstorming devrait se tenir le 13 septembre salle du conseil municipal… Intéressez pour proposer vos idées : contactez association@lajarre.fr !
Page 20 : Annonce du voyage à Rochefort-Océan et la fierté d’aller montrer nos produits “Made in Rochefort du Gard” lors de la rencontre organisée par “Rochefort ICI et d’Ailleurs”. Du coup, l’association travaille actuellement sur les étiquettes et le packaging des confitures, herbes de Provence, tisanes, et notre huile d’Olive “la Rochefortaise” :
Page 22 : L’annonce du futur FORUM des ASSOCIATIONS, qui se déroulera le Samedi 08 septembre 2018, salle Jean Galia.
Merci au Laboratoire GRAVIER pour son don, au profit de l’association la JARRE Écocitoyenne, de cuves de 1000 litres et de quelques bidons !
En effet, nous cherchions des cuves pour les jardins urbains et les jardins partagés ! C’est chose faite. En ont profité, le jardin urbain du Pébrier (2 cuves) et le jardin partagé du Lou Cacarelet (1 cuve et 2 bidons).
Fabricant de produits cosmétiques BIO, le Laboratoire GRAVIER, de Lussan, nous a généreusement autorisé à nous présenter à l’atelier de mélange dans la zone industrielle de Domazan.
Nous les remercions donc avec enthousiasme !
Vous pouvez découvrir les produits et en savoir plus sur les activité du Labo GRAVIER, ils sont la fierté de notre patrimoine industriel BIo au local, quand même !
Nota Bene : Les jardiniers membres de l’association la JARRE, peuvent se grouper afin d’obtenir un prix de lot dès 3 cuves (prendre contact avec DavidZ, le président de l’asso).
Nous avons reçu une invitation afin de faire connaitre nos produits issus de l’hyper-local, fabriqués artisanalement par les équipes de l’association La JARRE Écocitoyenne et cela à l’échelon Nationale… voir international !!!!
Nos produits ayant limités leur empreintes carbone lors de la production, lors de la récolte et lors de la transformation (pots et bouteilles ré-employées, fruits Bio sauvages ou communaux récoltés à moins de 3 km du lieu de transformation, etc…) vont néanmoins voyager quelques 720km… pour la bonne cause : Se faire connaître et s’ouvrir aux 13 occurrences de Rochefortais (de France, de suisse et de Belgique… à Rochefort, la sous-préfecture de Charente-Maritime en Nouvelle-Aquitaine !)
C’est grâce à une association “Rochefort d’Ici ou d’Ailleurs” que ces rencontres sont possibles et avec, bien sûr, la participation de Rochefortais de tout horizons ! L’objectif de ce rassemblement est de créer des liens d’amitié, de faire connaitre le terroir de chacun en une place unique : La place du marché de Rochefort “Océan” !!!
Nous sommes fiers de participer et représenter notre commune de Rochefort du Gard !
Liste de tous les villes de Rochefort invitées à cet évènement, le 01 septembre 2018, dans la commune de Rochefort en Charente-Maritime) :
Afin de préparer cette rencontre, l’association La JARRE Écocitoyenne réserve les derniers litres d’huile produits par nos arbres Gardois ! (Ainsi, il n’y a plus de bouteille d’huile à la vente… jusqu’en Novembre 2018 !)
L’équipe des cueilleurs-glaneurs et l’équipe des confituriers seront également fiers de voir leurs produits dégustés lors du marché local de Rochefort sur Mer !
Bref, il y a du travail afin de préparer au mieux cette rencontre multi-Rochefortaise ! On pense notamment à améliorer les étiquettes de nos produits… une charte graphique reste à inventer afin de donner à nos produits une identité visuelle bien Rochefortaise de chez nous !!! (Emblème de la ville + logo d’Adeline mettant en exergue “le Castelas”)
Lire l’Article dans le journal La PROVENCE le 11 septembre 2009 (depuis le blog de l’association “Rochefort d’Ici ou d’Ailleurs” ! )
En savoir plus sur l’association Rochefort d’ici et d’ailleurs :
Association : LES ROCHEFORT D’ICI ET D’AILLEURS.
Identification R.N.A. : W172003233
No de parution : 20110012
Département (Région) : Charente-Maritime (Nouvelle-Aquitaine)
Lieu parution : Déclaration à la sous-préfecture de Rochefort.
Type d’annonce : ASSOCIATION/CREATION
Déclaration à la sous-préfecture de Rochefort. LES ROCHEFORT D’ICI ET D’AILLEURS. Objet : promouvoir les échanges entre les communes répondant au nom de Rochefort. Siège social : 27, rue Alsace Lorraine, 17430 Tonnay-Charente. Date de la déclaration : 9 mars 2011.
On rapporte les 2 plus gros buzzes faits sur FACEBOOK depuis la création de l’association :
Buzz n°1 : L’huile d’olive “la Rochefortaise”. C’est l’annonce à la population Rochefortaise de la création d’une huile 100% Rochefortaise, 100% Bio et dont la distribution est “Zéro Carbone” ! Les formulaires de pré-commande de l’huile ainsi que le formulaire afin de proposer son arbre pour la récolte ont été fort utile et ont permis à l’association de tisser des liens… Plus de 1400 personnes atteintes !
Buzz n°2 : Commande possible de “Rennes en bois & Rondin”, 100% écolo pour consommer “Autrement”. Ici, l’idée de produire des rennes a été tirée d’une visite chez IsabelleA, qui travaille à la mairie de Rochefort du Gard et qui elle même a tiré l’idée de création de “Rennes” de ceux produits par les services techniques Rochefortais. D’ailleurs, 2 semaines après la reprise de cette idée trop cool, nous avons reçu dans la boîte aux lettres, la revue municipale n°11 de Novembre, qui propose, en page 15, un schéma et des explications pour que chacun puisse créer son Rennes de Noël !!! La production lancée, lors d’un premier “atelier bricolage”, au sein de l’association, a permis de produire les premiers visuels et proposer sur le FACEBOOK communale, un formulaire de pré-commande… Les premiers retours ont été encourageant (une association de Domazan et trois commerces (Avignonnais, Nîmois et Rochefortais) ont pris commande). Le post sur Facebook a atteint plus de 1100 personnes !
Buzz des Rennes relayé par le site Web wordpress des parents élus de l’UPEA de Rochefort du Gard (voir l’article),
BUZZ DANS La REVUE MUNICIPALE “REFLETS” n°11 de Novembre 2017 :
Génial ! L’association naissante (28/04/2017) “la JARRE Écocitoyenne” apparait de nouveau dans la revue municipale “Reflets” de Rochefort du Gard, au côté du “Remède de l’Autruche” et du “Penchak Silat” (voir page 19, revue municipale n°11 de Novembre 2017)