Super fier d’apparaître dans un hors série d’une revue Nationale « La MAISON Écologique« .
Hors-série n°10 « Automne 2018 », « CAP sur l’autonomie », page 40
Un scannage de l’article et l’utilisation en ligne et gratuite d’une moulinette OCR (Reconnaissance optique de caractère » et HOP : un copier-coller du texte produit par Gwendal Le Ménahèze (le journaliste qui nous a contacté). Voir l’interview de DavidZ et l’article ci-dessous :
TEXTE DE L’ARTICLE : Président de l’association La Jarre Écocitoyenne, à Rochefort-du-Gard, David Zicola anime des ateliers de lactofermentation, un mode de conservation » presque zéro carbone puisqu’on ne congèle pas et on ne chauffe pas « , apprécie-t-il. L’atout est aussi économique, car « si vous avez déjà des bocaux et opercules en caoutchouc, il ne vous faut que de l’eau de source et du sel de mer « . Sans compter la rapidité de préparation. En plus d’empêcher la dégradation des aliments, » la lactofermentation les aggrade en les rendant plus digestes, développe et équilibre notre flore intestinale, rend les minéraux bio-disponibles, conserve les vitamines qui auraient été thermolysées par stérilisation et peut même augmenter certaines valeurs vitaminiques « ·
La lactofermentation (ici,d’oignons, radis, fèves, cornichons, tomates cerise et chou KALE (une choucroute VERTE)) est » simple et multi-millénaire. Les bactéries naturellement présentes sur les, aliments et dans l’environnement se multiplient, l’aliment que nous voulons conserver est transformé par les micro-organismes, les bactéries. Ce processus peut demander quelques semaines. Le milieu devient trop acide pour permettre aux bactéries de survivre ; le processus de l’actofermentation s’arrête alors naturellement ». Contrairement à la conservation en cave, pas la peine de contrôler l’état des aliments tous les 2 ou 3 jours pour éviter le pourrissement.
Image de l’ARTICLE :