Archives de catégorie : Transformation alimentaire et ateliers culinaires

L’association la JARRE ÉCOCITOYENNE, du Jardin à l’Assiette ! Dans cette rubrique, on garde en mémoire les bons moments passés ensemble à l’aggradation alimentaire : Ateliers culinaires autour de la Lactofermentation, le Kéfir, dessert zéro lactose, extraction de jus tout azimut, etc…
RECETTES
PROPOSITION d’ATELIERS
CONSERVATION ALIMENTAIRE
TRANSFORMATION des SURPLUS de PRODUCTION (fruitières et potagères)

Confiture de Citre – gingérine – du Père Pécout !

Voici “the” confiture hyperlocale et provençale de surcroit ! La fierté des ateliers confitures de l’association la JARRE Écocitoyenne !

On a fait gouter cette confiture au marché de Noël à Rochefort du Gard et elle a beaucoup plus : on en a plus !

Mais alors pourquoi en parler… s’il n’y en a plus ! C’est pour garder en mémoire 2 choses :

  • La recette : Pour 3 kilos de citre réduit en cube, 2 écorces de citrons et 2 écorces d’orange coupées en mirepoix,
  • L’intérêt des gens : On a remarqué que peu de personnes connaissent la gingérine (ou citre). Les gens ne connaissent ni sont origine provençale, ni le fait que la citre n’est en fait qu’une cucurbitacée !

Gingérine - citre - compotage - asso la jarre
Gingérine – citre – compotage – asso la jarrecof

De plus notre citre est produite localement. On lui a donc légitimement donné le nom de son producteur… en attendant de la produire nous même au jardin communautaire de l’association la JARRE, route de Saze.


Les confitures de citre aux écorces orange et citron confits refroidissent - asso la jarre
Les confitures de citre aux écorces orange et citron confits refroidissent – asso la jarre

Bon l’année prochaine il faudra en faire d’avantage car cette confiture en plus d’être délicieuse, elle a une superbe couleur.

Un petit goût de miel relevé par un peps de citrons et oranges biologiques confites ! Franchement trop bonne… et trop peu connu apparemment !

Confiture de citre du père Pécout - asso la jarre - rochefort du gard
Confiture de citre du père Pécout – asso la jarre – rochefort du gardcof

Voilà une recette ancienne que l’on ne trouve pas au supermarché ! Hyperlocale et provençale !

Une semaine après sa production et nous sommes déjà en rupture de stock !!! On a essayé une autre recette : passer les tranches de gingérine à la rappe plutôt de de les tailler en dès… et cuire la pastèque avec du sucre RAPADURA pour moitié. Cela a donné une confiture très foncée (moins appétente il est vrai) mais à la saveur “réglisse” étonnament prononcée !

Un essai étonnant… pour ceux qui connaissent déjà la confiture de citre traditionnelle !

La revue la maison écologique s’intéresse à notre activité lactofermentation !

Lactofermentation & UPCYCLING ! Merci à la BOUTIQUE DU COMPTOIR DE MATHILDE® de Nîmes (une deuxième vie aux bocaux de 200ml récupérés en boutique et issus de la post-consommation “dégustation”) !

La revue la maison écologique s’intéresse à nos modes de conservation alimentaire “presque zéro carbone” et donc à l’utilisation de la lactofermentation pour aggrader et conserver les aliments produits dans nos jardins potagers !

Nous avons reçu, le 30/07/2018, un mèl de Gwendal, le journaliste, parmi les 5 permanents travaillant pour la revue “La Maison écologique” :

Je suis journaliste pour le magazine La Maison écologique et nous avons vu sur le site de La Jarre que vous animiez des ateliers pour faire ses conserves lactofermentées ? Réalisiez-Vous aussi d’autres types de conserves sans recourir à l’électricité?
Accepteriez-vous de témoigner pour un article sur les alternatives au frigo pour conserver les aliments?

DavidZ se propose d’aider à la rédaction de cet article en projet, en espérant recevoir en contrepartie un exemplaire de la revue, une fois l’article édité !!!

De là, nous avons reçu, un mèl déclinant les questions suivantes :

  1. Quels sont pour vous les avantages de la lactofermentation par rapport à d’autres modes de conservation?
  2. Pouvez-vous résumer brièvement en quoi consiste ce processus de lactofermentation?
  3. Utilisez-vous (au sein de la Jarre ou à titre personnel) d’autres méthodes de conservation « presque zéro carbone »?
  4. Auriez-vous quelques photos de la confection de bocaux lactofermentés?
  5. Quelles coordonnées souhaitez-vous que nous indiquions pour les lecteurs qui souhaiteraient vous contacter (adresse postale, mail, téléphone, site Web)?

Le but de cet article est donc la préparation aux réponses afin d’en produire un lien pour Gwendal, le journaliste de “la maison écologique” (voir leur site web et connaitre cette revue 100% indépendante) :

NB : David ZICOLA est le président de l’association “La JARRE Écocitoyenne”, rédacteur d’un blog sur le thème du jardin à l’assiette “DZprod Jardin” et également l’intervenant-formateur concernant les ateliers sur le thème de l’aggradation alimentaire via la lactofermentation. Liens : Le blog de DavidZ “DZprod Jardin” et ses essais déjà relayés sur son blog : Toute une rubrique est dédiée à la lactofermentation ! Un article présente cette rubrique et donne en lien d’autres articles sur le traitement concret des surplus issus des jardins bio urbains, partagés ou de potagers d’adhérents de l’association.

L’article phare à consulter :  “Comment conserver les légumes du jardin rapidement par la lactofermentation“. On y trouve dans cet article l’ensemble des liens vers les des essais hors des sentiers battus, concernant ce mode de conservation “zéro carbone” !

Ainsi, une lecture rapide diagonale, de la rubrique sur le site DZprod Jardin apporte toutes les réponses à ces 5 questions

Réponse 1. : Quels sont pour vous les avantages de la lactofermentation par rapport à d’autres modes de conservation?
  • Économique : Si vous avez déjà des bocaux et opercule en caoutchouc, il ne vous faut que de l’eau de source (pas d’eau du robinet) et du sel de mer (pas du sel de table fluoré par contre) !
  • Très rapide d’exécution (par rapport à la stérilisation),
  • Zéro énergie dépensée pour la conservation : Conservation “zéro carbone” puisque l’on ne congèle pas, ni on ne chauffe (pas de stérilisation),
  • Rend meilleurs les aliments ! Les aliments issus du jardin se dégradent rapidement… la lactofermentation empêche d’une part la dégradation mais aggrade les aliments (En proposant une nourriture bénéfique au développement de notre biote intestinal, la lactofermentation améliore la digestibilité, rend les minéraux bio-disponibles, conserve les vitamines (qui auraient été thermolysées par stérilisation). La lactofermentation contribue au bon équilibre de notre intestins en détruisant certaines bactéries pathogènes (mauvaises bactéries) tout en offrant une nourriture la meilleure à nos “bonnes bactéries”.
  • lutte contre le gaspillage alimentaire : de retour du jardin, on garde les fruits et légumes pour la consommation en frais et on peut ensuite conserver le surplus par la lactofermentation simple, rapide, et efficace !,
  • permet la diversification alimentaire ! J’aime élaborer des salades en y ajoutant des légumes lactofermentées : cela donne du goût et des couleurs à mes salades (Effet appétent : on lutte contre l’uniformisation du goût et on nourrit l’oeil !)
2. Pouvez-vous résumer brièvement en quoi consiste ce processus de lactofermentation :

Wikipédia donne une définition claire de la lactofermentation (cliquer Ici). On peut résumer brièvement le processus mais pas la raison des bienfaits de la lactofermentation.

Afin de donner du sens à cette définition en la reliant à notre monde contemporain, j’aimerais ajouté que ce mode de conservation, simple et multi-millénaire, nous est plus familier lorsque l’on évoque la choucroute (lactofermention du chou), le saucisson (lactofermentation de viande), les rollmops ou la morue salée (lactofermentation de poissons), le fromage (lactofermentation de lait), le vinaigre, les cornichons, les olives de bouche, le ketchup, le pain au levain. Évoquer la lactofermentation devient même “tendance et actuel” (mais pourtant “vieux comme le monde”) lorsque l’on évoque le Kéfir, le kombucha, le miso et son utilisation multiple dans de savoureuses recettes pour la cuisine Vegan !

La lactofermentation est la conservation alimentaire par le sel produisant la saveur umami (une des 5 saveurs de base comme le sucré, salé, acide, amer). L’industrie alimentaire uniformise les goûts via les arômes afin d’offrir une copie gustative de la lactofermentation mais elle dégrade les organismes : c’est la fameuse “mal-bouffe” dont on se plaint aujourd’hui.

Ce sont les bactéries naturellement présentent sur les aliments et dans l’environnement qui vont se multiplier au contact de la nourriture (l’aliment que nous voulons conservé est transformé par les micro-organismes, les bactéries et les levures). Ce processus demande un peu de temps, voir quelques semaines : c’est une des raisons pour laquelle l’industrie alimentaire a abandonné cette conservation. L’autre raison étant que le dégazage issu de la lactofermentation est difficilement contrôlable dans des systèmes fermés tels que les bocaux en verre et leurs joints en caoutchouc qui laissent passer le dioxyde de carbone résultant d’une fermentation anaérobique en gardant le contenu sous une pression “contrôlée”. De plus, en saumure, la lactofermentation produit un dépôt blanchâtre visible au fond des bocaux : ce sont les résidus cytoplasmiques (cadavres) des bactéries pathogènes et des bactéries s’étant multipliées lors de la lactofermentation. Le stade ultime (fin du processus de lactofermentation) se caractérise par un milieu devenu trop acide pour permettre aux bactéries devenues trop nombreuses pour survivre. La lactofermentation s’arrête naturellement ( à Ph 4 environ).

Notre intestin contient également quelques 2 kilos de bactéries. Elles nous aident à la digestion et sont en équilibre malgré  une variété de bactéries très différentes. Manger des aliments lactofermentés permet de ré-ensemencer notre flore intestinale de “bonnes bactéries”…

Une remarque concernant l’évolution embryonnaire : Notre corps n’est qu’un empilement de trois tuyaux imbriqués : le premier est une circonvolution qui part de la bouche jusqu’à l’anus, passant par notre intestin…. Après fécondation, la biogenèse produits nos organes à partir de ce premier tuyau (cœur, poumons, etc…), la peau formant le troisième de ces 3 tuyaux. On comprend alors l’importance d’apporter une nourriture la plus adaptée à notre intestin qui est la source de tout ! Tout part de l’intestin, il serait même notre premier cerveau.. et il n’est pas impossible que notre santé,  nos humeurs etc… dépendent de l’activité bactérienne intestinale…

Pour des idées recettes et plus de complément : Je vous conseille de visiter le site de la papesse de la Lactofermentation Marie-Claire Frédéric ! Ni cru ni cuit ! dont 2 livres ont été dédicacés au nom de l’association la JARRE Écocitoyenne !

3. Utilisez-vous (au sein de la Jarre ou à titre personnel) d’autres méthodes de conservation « presque zéro carbone »?

Oui et non. Côté production au jardin biologique j’aime produire des légumes qui se conservent longtemps. Je choisis certaines variétés de pommes de terre pour leur qualité gustative et d’autres pour leur longévité de conservation (de 2 à 6 mois, il y a de la marge !). J’aime produire également des légumineuses (légumes secs), qui ont le double avantage d’être riches en protéine et de se conserver longtemps à l’état sec (plusieurs années !). Nous travaillons également sur les avantages de la déshydratation pour la conservation : nous avons un séchoir électrique mais nous n’utilisons que le séchoir solaire et un séchoir étagé sans ventilation, ni chauffage d’aucune sorte afin de déshydrater une multitude d’aromatique (origan, sauge, menthes, camomille, thym, tilleul, verveine, mélisse… Nous avons testé le rafraichissement des aliments via des contenants en terre cuite que l’on garde mouillés (lors de l’évaporation de l’énergie est soustraite au système d’où le fait que les aliments son gardés au frais).

Nous sommes content d’avoir une cave de conservation “frâiche toute l’année” au domicile d’un de nos adhérent, au jardin partagé du Loucascarelet.

Pour finir, nous avons le projet de tester la conservation sous terre. L’idée étant de creuser une cavité assez importante afin d’y placer un tambour de machine à laver à un mètre de profondeur. Il est rapporté que les légumes racines peuvent y être conservés assez longtemps (plus qu’en cave).

Je finis par conclure que la lactofermentation est la meilleure des solutions car elle aggrade les aliments et peut même augmenter certaines valeurs vitaminiques ! De plus, par rapport à la conservation en cave par exemple, pas la peine de contrôler l’état des aliments chaque 2, 3 jours afin d’éviter le pourrissement. Ici, aucun gaspillage et surtout 100% de réussite !

4. Auriez-vous quelques photos de la confection de bocaux lactofermentés ?

En tapant “dzprod jardin la jarre lactofermentation” dans un moteur de recherche, on tombe sur pas mal de visuels concernant nos essais. Si vous voulez des images grand format, en vue d’une intégration, libre de droit, dans votre article à paraître dans votre revue “la maison écologique” : écrire à association@lajarre.fr

Nota bene : nous sommes fier de notre lactofermentation de chou Kale qui donne “une choucroute verte” et notre trio de choucroute aux couleurs du drapeau italien !

5. Quelles coordonnées souhaitez-vous que nous indiquions pour les lecteurs qui souhaiteraient vous contacter (adresse postale, mail, téléphone, site Web)?
  • Adresse postale : Association la J.A.R.R.E Écocitoyenne, 2 allée du Pébrier, 30650 Rochefort du Gard ;
  • Mèl : association@lajarre.fr ;
  • Tél : 09.52.17.44.69 (domiciliation de l’asso) ou directement au 06.52.33.89.70 (smartphone du président) ;
  • Site Web : www.lajarre.fr/

La JARRE de Rochefort du Gard à Rochefort sur Mer !

Nous avons reçu une invitation afin de faire connaitre nos produits issus de l’hyper-local, fabriqués artisanalement par les équipes de l’association La JARRE Écocitoyenne et cela à l’échelon Nationale… voir international !!!!

Nos produits ayant limités leur empreintes carbone lors de la production, lors de la récolte et lors de la transformation (pots et bouteilles ré-employées, fruits Bio sauvages ou communaux récoltés à moins de 3 km du lieu de transformation, etc…) vont néanmoins voyager quelques 720km… pour la bonne cause : Se faire connaître et s’ouvrir aux 13 occurrences de Rochefortais (de France, de suisse et de Belgique… à Rochefort, la sous-préfecture de Charente-Maritime en Nouvelle-Aquitaine !)

C’est grâce à une association “Rochefort d’Ici ou d’Ailleurs” que ces rencontres sont possibles et avec, bien sûr, la participation de Rochefortais de tout horizons ! L’objectif de ce rassemblement est de créer des liens d’amitié, de faire connaitre le terroir de chacun en une place unique : La place du marché de Rochefort “Océan” !!!

Nous sommes fiers de participer et représenter notre commune de Rochefort du Gard !

Invitation Rochefort ici et ailleurs -01-09-2018 - association la Jarre écocitoyenne
Invitation Rochefort ici et ailleurs -01-09-2018 – association la Jarre écocitoyenne


Liste de tous les villes de Rochefort invitées à cet évènement, le 01 septembre 2018, dans la commune de Rochefort en Charente-Maritime) :

Cette carte créée par DavidZ avec l’aide des infos trouvées sur le site de l'”association Rochefort d’ici et d’ailleurs” ne prend pas en compte les occurrences de “Rochefort, en Savoie”, qui semble être des lieux dits plutôt que des villes…


Afin de préparer cette rencontre, l’association La JARRE Écocitoyenne réserve les derniers litres d’huile produits par nos arbres Gardois ! (Ainsi, il n’y a plus de bouteille d’huile à la vente… jusqu’en Novembre 2018 !)

L’équipe des cueilleurs-glaneurs et l’équipe des confituriers seront également fiers de voir leurs produits dégustés lors du marché local de Rochefort sur Mer !

Bref, il y a du travail afin de préparer au mieux cette rencontre multi-Rochefortaise ! On pense notamment à améliorer les étiquettes de nos produits… une charte graphique reste à inventer afin de donner à nos produits une identité visuelle bien Rochefortaise de chez nous !!! (Emblème de la ville + logo d’Adeline mettant en exergue “le Castelas”)


Christian Conil : Tomate de Rochefort du Gard (Saint Pierre, Agriculture raisonnée) (Facebook)

EARL JAUFFRET  : Vin Bio du “CHATEAU TERRE FORTE


Lire l’article du 08/09/2012, concernant ce “rassemblement” de Rochefortais de tout bords, qui “n’a pas d’autre ambition que de permettre à des producteurs de se faire connaître, de vendre leurs produits et d’échanger”


Lire l’Article dans le journal La PROVENCE le 11 septembre 2009 (depuis le blog de l’association “Rochefort d’Ici ou d’Ailleurs” ! )

Article dans le journal La PROVENCE le 11 septembre 2009 concernant la première édition des rencontres entre Rochefortais grâce à l'association Rochefort d'Ici et d'Ailleurs
Article dans le journal La PROVENCE le 11 septembre 2009 concernant la première édition des rencontres entre Rochefortais grâce à l’association Rochefort d’Ici et d’Ailleurs


En savoir plus sur l’association Rochefort d’ici et d’ailleurs :

Association : LES ROCHEFORT D’ICI ET D’AILLEURS.

Identification R.N.A. : W172003233

No de parution : 20110012
Département (Région) : Charente-Maritime (Nouvelle-Aquitaine)

Lieu parution : Déclaration à la sous-préfecture de Rochefort.
Type d’annonce : ASSOCIATION/CREATION

Déclaration à la sous-préfecture de Rochefort. LES ROCHEFORT D’ICI ET D’AILLEURS. Objet : promouvoir les échanges entre les communes répondant au nom de Rochefort. Siège social : 27, rue Alsace Lorraine, 17430 Tonnay-Charente. Date de la déclaration : 9 mars 2011.


Récolte des olives 2017 (deuxième semaine) : 109 KG donne 20 litres d’huile !

La semaine suivante, en trois jours, c’est 109kg récoltés sur les arbres communaux “montée des oliviers”, l’arbre communal devant le salon de coiffure “Emma coiffure” et sur les oliviers de Claire et Michel B (Allée de la Pause), ainsi qu’un deuxième passage chez Franck & Marie…

L’huile “la Rochefortaise” est en vente au profil de l’association : Le formulaire ci-dessous vous invite à en faire la pré-réservation !

ATTENTION : cette année 2017 est une année exceptionnelle pour la production d’huile d’olive. Qualité et rendement ! De plus la mouche de l’olive, merci à la sècheresse, n’a pas été aussi virulente que les autres années !!! Les olives sont saines, gorgées de soleil… et fait que l’huile millésimée 2017 est de qualité organoleptique exceptionnelle ! “C’est une superbe année ! “, d’après les propriétaires récoltants des moulins !!!

Commande d'huile d'olive "La Rochefortaise" de l'association la JARRE
Réservez votre huile d'olive hyperlocale "La Rochefortaise" issue des oliviers ROCHEFORTAIS, conduits sans aucun traitement chimique ! 20 €/l au profit de l'association la JARRE Écocitoyenne.
... ainsi nous pourrons vous répondre !
(facultatif) ... afin d'échanger rapidement sur vos attentes.
Selon le stock disponible.
Service uniquement disponible pour les Rochefortais : Gratuit pour les adhérents !
... nous avons certainement une réponse !

La cave de conservation de l’association la Jarre Écocitoyenne : une cave partagée !

Après les jardins partagés, le poulailler partagé… la cave partagée !

Rare sont les caves enterrées tempérée. Au jardin du Lou Cascarelet (chez Franck & Marie), l’association conserve bon nombre de Lactofermentations et autres confitures issues des ateliers de transformation alimentaire.

C’est l’endroit où sont concentrés le résultat des travaux des jardiniers de l’association, mais aussi de l’équipe de cueilleurs (cerises, abricots, mûres sauvages, sureaux, quetsches, figues, coings) et de l’équipe de transformation alimentaire (ateliers confitures, atelier Lactofermentation, etc…)

la cave partagée du Lou Cascarelet - association la jarre écocitoyenne - 31 août 2017
la cave partagée du Lou Cascarelet – association la jarre écocitoyenne – 31 août 2017

La cave fluctue peu en température : de 17°c l’hiver à 22°c pendant la canicule !

Le contenu de la cave au 15 juillet 2017 : uniquement les lactofermentation après un grand nettoyage de la cave…

Le contenu de la cave au 01 Août 2017 : Avec en plus, quelques confitures (150) et un rayonnage rapidement réalisé…

Marie & Franck ne l’utilise pas et il reste de la place pour un volume correspondant à une bonne quarantaine de cartons de vin !!!

Atelier : Tarte sucré – Tarte salée et pâte à tarte !

APPRENDRE à FAIRE une pâte brisée : Atelier cuisine au sein de l’association La JARRE Écocitoyenne. Un atelier cuisine  vous sera proposé selon vos disponibilité.

TECHNIQUE et TOUR de MAIN !

Vous aurez la fierté et la connaissance pour faire votre pâte brisée ! Fini le détour au supermarché ou à la supérette pour acheter une pâte à tarte, trop fine, souvent non précuite.

Poser la pâte sur le moule à tarte est une opération difficile : APPRENEZ comment faire avec une technique de pâtissier pro.

Une tarte « HOME-MADE » avec des ingrédients du jardin : c’est la classe !

Demande pour participer à un atelier : laisser vos coordonnées à david@lajarre.fr ou laisser un message au 09.52.dix-sept.44.69 !

Atelier tarte sucrée salée et pâte à tarte - idée & savoir-faire - Association la jarre écocitoyenne
Atelier tarte sucrée salée et pâte à tarte – idée & savoir-faire – Association la jarre écocitoyenne

Pâte à tarte - Atelier de savoir faire - la jarre écocitoyenne
Pâte à tarte – Atelier de savoir faire – la jarre écocitoyenne

Sureau : Atelier cueillette, atelier confiture 2017

Rares deviennent les arbres à sureau accessibles… ils sont de plus en plus envahies par la végétation sauvage.
Ce spot à Tavel, non loin de la cave coopérative va permettre à l’association La Jarre écocitoyenne, la confection d’une confiture de sureau à l’ancienne.

Cette confiture sera sans pépins !!! C’est énormément de travail mais le parfum et la qualité de la confiture en vaut la peine… La vidéo ci-dessous dévoile le secret et les étapes d’une gelée de sureau réussie !

L’équipe des cueilleurs de fruits sauvages va profiter du caractère précoce de la saison et revenir avec quelques seaux de mûres de roncier… les premières… bien grosses et tanniques !

Récolte Sureau et Mûres du 28 juillet 2017 - Équipe des cueilleurs - Association la jarre écocitoyenne
Récolte Sureau et Mûres du 28 juillet 2017 – Équipe des cueilleurs – Association la jarre écocitoyenne

 

Travail à faire en vue du développement des ateliers au sein de l’association la JARRE ÉCOCITOYENNE :

  • Atelier cartographie et chronologie de la cueillette sauvage,
  • Équipe des cueilleurs (inscription, charte “cueillette chez les particuliers, charte “cueillette sauvage”),
  • Atelier confiture et gelée (inscription, acquisition de savoir-faire, vente inter-associative, vente externe au profit de l’association)

 

 

Atelier lactofermentation et conservation alimentaire zéro carbone

L’atelier lactofermentation se propose comme une évidence pour prendre en compte les surplus de production de légumes du jardin : Beaucoup de nos adhérents sont en vacances, tous ne peuvent être présents et recevoir les surplus issus des jardins… une solution serait la congélation… Une autre solution serait la mise en bocaux par appertisation) mais cette solution est chronophage et calorivore…

La lactofermentation est la solution idéale pour traiter les surplus de production au jardin potager.

Atelier culinaire Lactofermentation - Association la jarre écocitoyenne
Atelier culinaire Lactofermentation – Association la jarre écocitoyenne

Faire ses conserves et bocaux est chronophage, c’est la raison pour laquelle les jardiniers amateurs ont tendance à donner les surplus de production à leur famille ou voisins : On ne peut pas être au four et au moulin !!!!

La lactofermentation est la plus rapide des conservation mais aussi la seule qui puisse aggrader notre biotope intestinale !!!

L’association la jarre écocitoyenne propose des ateliers pour à la fois comprendre l’intérêt mais aussi le process de lactofermentation.

Les ateliers de juillet ont permis la réalisation de bocaux lactofermentés. Les bocaux ont été partagés avec les membres présents et les jardiniers producteurs des matières premières. L’autre partie de la production de bocaux sont entreposés en cave chez Frank & Marie, au jardin partagés du Lou Cascarelet. Ils ont la chance d’avoir une cave à température tempérée de 17°c l’hiver et 22°c l’été !

Kajo de bocaux lactofermentés - DZprod Jardin
Kajo de bocaux lactofermentés – DZprod Jardin

Production de lactofermentation prête pour le stockage en cave - association la jarre écocitoyenne
Production de lactofermentation prête pour le stockage en cave – association la jarre écocitoyenne

Alors que les bocaux lactofermentés arrivent facilement à être conservé plus d’une année… certaines lactofermentations resteront en cave plus longtemps, comme témoins tests de longévité… test organoleptique et sensoriel.

Lactofermentations conservées en cave du Loucascarelet - association la jarre écocitoyenne
Lactofermentations conservées en cave du Loucascarelet – association la jarre écocitoyenne

2 ouvrages sont en prêt, au sein de l’association : Pourquoi la lactofermentation, comment procéder, comment utiliser les bocaux dans des recettes, peut-on lactofermenter des viandes, des poissons, peut-on créer nos propres fromages, yaourts ?… Vous avez d’autres questions les livres de Marie-Claire Frédéric, la papesse de la lactofermentation vous donneront réponses… (Prêt : contacter DavidZ, des jardins de DZprod : david@lajarre.fr)

L’association est également disposée à vous apprendre comment lactofermenter : Renseignement au 09.52.dix-sept.44.69 ou Portable 06.52.trente-trois.89.70

Légumes du jardin et achetés en vue des ateliers lactofermentation - association la jerre écocitoyenne
Légumes du jardin et achetés en vue des ateliers lactofermentation – association la jerre écocitoyenne

à bientôt ?

Le kéfir, une boisson rafraîchissante et pleine de vertus

Originaire du Caucase, le kéfir est une boisson issue de la fermentation de probiotiques. Il a notamment de nombreuses vertus digestives.

Pour fabriquer cette boisson, il faut se procurer des grains de kéfir. Il suffit de demander aux boutiques bio, de faire une recherche sur le bon coin ou de demander à vos amis. On en trouve facilement.

Les grains de kéfir sont des amas de micro-organismes qui se reproduisent indéfiniment dans des conditions de fermentation. C’est une boisson vivante qui contient les germes de sa propre descendance donc plus vous en faites, plus vous en avez. Il faudra donc soit en donner, soit en jeter !

La recette du kéfir est simple comme bonjour. Néanmoins, il y a quelques astuces à connaître et une régularité à acquérir pour stabiliser la production.

Dans un  premier temps, voici la recette en vidéo :

Les ingrédients :

2,5 L d’eau
75g de sucre ( à ajuster à votre convenance )
5 figues sèches
1/2 citron coupé en tranches fines
Des bouteilles de limonades

Verser le kéfir dans un bocal en verre.
Ajouter l’eau, le sucre, les tranches de citron et les figues sèches.
(le sucre complet ou rapadura ne semble pas fonctionner… est-ce moi? Mystère…)

Couvrir avec un linge ou un papier absorbant en laissant le bocal entrouvert.

Laisser reposer. Lorsque les figues remontent, il est temps de filtrer et de mettre en bouteille.
(éviter tout objet en métal pour manipuler le kéfir. Je pense surtout à la passoire et à la cuillère que vous allez éventuellement utiliser pour cela) Lors de la fermentation, le kéfir se sera démultiplié. Si vous souhaitez en refaire, il faudra donc retirer l’excédent pour en avoir la même quantité qu’à l’origine.

Laisser agir 24h puis mettre au frigo pour éviter une surpression ! (très important si vous ne voulez pas nettoyer toute votre cuisine après l’ouverture explosive d’une de vos précieuses bouteilles)

Il ne vous reste plus qu’à déguster… et à entretenir vos prochaines dégustations!

Le yaourt végétal, une alternative simple et savoureuse

Les yaourts sont une excellente source de probiotiques. On trouve des probiotiques dans les aliments fermentés mais aussi dans les compléments alimentaires. Ils participent à votre digestion et à votre immunité. Cela fait au moins une bonne raison pour ne pas s’en priver !

Vous ne consommez pas de lait animal? Vous évitez de consommer du soja? Vous souhaitez tout de même intégrer des probiotiques à votre alimentation? Alors cette recette va vous emballer. Elle est végan, sans lactose, sans gluten et sans soja.

Pour ceux qui n’ont aucun interdit alimentaire, n’hésitez pas à essayer également. Vous succomberez à leur douceur et à leur goût inimitable. Les amateurs de yaourts conventionnels s’y convertissent sans aucun choc gustatif ! Bien au contraire…

Sachez que dans le commerce, ils se vendent à prix d’or alors à vos tabliers… je vous confie ma recette personnelle.
Elle est simple, rapide et délicieuse.

Ci-dessous: la recette en vidéo du yaourt végétal à la vanille


La poudre brune que j’ajoute juste avant la cuisson est l’agar agar.

Les ingrédients :

800g de lait de coco (60% de noix de coco min.)
200g de lait de riz et amandes
Une petite coupelle de sirop d’agave
3 cuillères à soupe de fécule de tapioca
1 cuillère à café d’agar agar
Un sachet de ferments lactiques
Une petite cuillère à café de vanille en poudre

Dans une casserole, mélangez les laits végétaux, le sirop d’agave, le tapioca, la vanille et l’agar agar.
Portez à ébullition. Puis, laissez refroidir à environ 40°C.
Ajoutez les ferments lactiques, mélangez bien et laissez reposer à 40° environ pendant 8 heures.
Passez au réfrigérateur puis déguster à votre guise.

Bon appétit !